La start-up Remyx Vodka repense l’identité de sa marque à chaque nouveau batch, grâce à des artistes. Les bars et les cavistes constituent la cible privilégiée.
Du “pop” dans la vodka. La jeune marque Remyx Vodka compte mettre à profit le bon redémarrage de l’activité des cafés-hôtels-restaurants pour pousser ses produits. Deux vodkas conçues comme des éditions limitées : pour chaque batch, le logo change, l’étiquette aussi, sous l’impulsion d’artistes invités à “remixer” la marque, ainsi que le liquide. “J’aime la recherche de pureté dans la vodka, et sa polyvalence. J’aime cette vision transformative”, explique Rémy Guizerix, fondateur.
Diplômé d’un master en communication multimédia, il a travaillé dans la publicité durant une quinzaine d’années, avant de basculer à plein temps sur le développement de Remyx Vodka depuis l’été. Rémy Guizerix a lancé la marque fin 2017, et concilié son activité professionnelle avec sa vie d’entrepreneur. “En publicité, nous avons de longs horaires, et il s’agissait d’une soupape en fin de journée”, poursuit-il. C’est en rencontrant des artistes qu’il a eu l’idée de bâtir un projet autour de la création et de la vodka.
Le circuit on-trade comme priorité
Remyx Vodka propose aujourd’hui “Cosmique”, par Kikor et “Aquatique”, par Aude Villerouge, lancée lors du deuxième confinement. “Cosmique” est une vodka “plus douce” avec une pointe de blé et de citron vert. “Aquatique”, elle, a “plus de longueur”. La distillerie De la Tour, à Pons (Charente-Maritime), assure la production.
Côté distribution, “les barmans ont bien accueilli le produit. Le premier effet est visuel. Ensuite, les retours sont très bons. Le produit est polyvalent, et les bars ont déjà des idées cocktails”, se réjouit Rémy Guizerix. Les cavistes et épiceries fines sont aussi dans la cible.
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération.