Sous le Sir Winston, à Paris, le Doris Bar se relance en accueillant Fever-Tree. La marque de mixers compte refaire valoir ses atouts dans l’univers du cocktail.
Depuis octobre 2023, la distribution des mixers Fever-Tree a été reprise par Solinest en grande distribution et dans les cafés-hôtels-restaurants hors prestige. La marque, qui fêtera ses vingt ans l’an prochain, repasse à l’offensive sur le segment des bars en s’invitant dans un établissement avec une carte dédiée. Du 18 octobre 2024 au 30 avril 2025, place donc à une collaboration avec le Doris Bar, le bar caché du Sir Winston, un élégant pub-restaurant du 16ème arrondissement de Paris.
“Il y a une explosion de la consommation de highballs, de mules et de palomas, en plus de la tendance du dark ‘n’stormy et bien entendu du gin tonic. Les mules et les gin tonics sont au cœur de notre stratégie. Nous insistons par ailleurs pour que le rituel de service s’effectue avec la pose de la bouteille à côté du cocktail. Nous avons accru notre force de vente, et nous sommes davantage présents chez les grossistes. Fever-Tree a la chance d’être la seule marque de mixers premium connue des consommateurs, et leader sur son segment”, explique Ludovic Derigny, le country manager de Fever-Tree.
Fever-Tree est donc présent pour plusieurs mois au Doris Bar, un établissement qui fonctionnait jusqu’alors sous forme de collaborations éphémères entre une marque et un bar extérieur, jusqu’à la fin 2023. “Ce pop-up s’inscrit non seulement dans la stratégie de Fever-Tree, mais aussi dans notre volonté de relancer le bar avec un partenariat qui a du sens. Nous travaillons à l’année avec Fever-Tree, et nous développons nos speakeasy, que ce soit au Doris Bar ou désormais chez Divine House”, ajoute Estelle Etienney, responsable marketing chez Bertrand Hospitality, la filiale chargée des adresses premium du groupe Bertrand.
Des cocktails réalisés avec Fever-Tree
Cinq cocktails (14 euros) sont proposés sous la houlette de Fever-Tree. Des recettes incontournables : whisky ginger, moscow mule, dark n’stormy, paloma, gin tonic (avec le Mediterranean tonic water de la marque). On se laisse tenter par un Whisky ginger (Bourbon Buffalo Trace, ginger ale, orange fraîche), très efficace. Le whiskey reste bien présent, et apporte des notes gourmandes et une belle sucrosité. L’un des cocktails phares de l’été, la paloma, est aussi de mise (tequila Cazadores Blanco, pink grapefruit soda Fever-Tree, pamplemousse frais, sel fumé, spray de Mezcal Del Maguey Vida): très doux, désaltérant, avec de francs arômes de pamplemousse qui se mêlent au caractère plus droit du mezcal.
Deux cocktails propres au Sir Winston sont aussi prévus sur la liste, un Pandan smash (Gin Bombay Sapphire infusé à la feuille de pandan, sirop de noix de coco, jus de citron frais, Angostura bitters, coriandre fraîche) ainsi qu’une recette avec du Buffalo Trace infusé à la cacahuète (Bourbon, vermouth blanc Baldoria, amaro Montenegro, liqueur de noix des Pères Chartreux, beurre de cacahuètes).
Deux cocktails softs ont par ailleurs été réalisés avec les produits sans alcool Nolow, qui se sont rapprochés de Solinest. Coup de cœur pour le Mr Grey (10 euros): Nolow distillat botanique, cordial de grenade et fleurs de sureau, jus de citron frais, ginger beer, menthe fraîche.
5 rue de Presbourg, 75016 Paris
Un coffret pour les fêtes de fin d’année
Pour les fêtes de fin d’année, une idée cadeau: le nouveau coffret « Le parfait Gin & Tonic » co-brandé par Bombay Sapphire et Fever-Tree. L’iconique marque de London dry gin et la célèbre marque de mixers (à travers la référence Premium Indian tonic water) sont réunis dans un même lot, pour pouvoir réaliser, chez soi, un gin tonic. A noter que Bombay Sapphire vient par ailleurs de réaliser une collaboration avec l’artiste Thomas Lélu – nous y reviendrons prochainement.
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération.