Le concept d’inclusive social tagging peut s’appliquer aussi bien dans le domaine de la documentation que de celui de la sphère entrepreneuriale.
Le développement, ces dernières années, des sites Web 2.0, replaçant les internautes au centre des préoccupations des éditeurs, a permis de populariser les pratiques d’indexation collaborative, permettant l’émergence d’un nouveau type de langages documentaires, les folksonomies. Ce néologisme, agrégeant les notions d’usagers et de règles de classification (slide 5), illustre le recours aux utilisateurs de sites Internet pour procéder au classement des contenus déposés par leurs soins sur la Toile.
En matière entrepreneuriale, le concept d’inclusive social tagging peut agir comme un rappel aux concepteurs de sites Internet, en les incitant à créer des services accessibles à tous et pouvant facilement être appréhendés, mais également comme une incitation aux responsables marketing ou communication d’entretenir une véritable forme d’interaction avec les clients. En leur permettant de suggérer des propositions pour améliorer le classement des contenus sur un site Web, d’autres utilisateurs pourraient potentiellement y accéder plus aisément… tandis que les frais liés aux tests préalables à la mise en ligne de nouvelles versions de sites pourraient être réduits.
Notre première présentation, disponible ci-dessous, y est consacrée.
Selon vous, quelles applications de ce concept pourraient-elles être envisagées ?