
Jusqu’à la mi-juillet 2025, la marque Johnnie Walker, dans le giron de Diageo, est à l’honneur à travers un pop-up installé dans l’une des boutiques parisiennes de La Maison du Whisky.
Du 6 juin au 13 juillet 2025, Johnnie Walker est à l’honneur rue d’Anjou, dans le 8ème arrondissement de Paris. Le lieu : l’une des boutiques de La Maison du Whisky, qui s’occupe également de la distribution exclusive de la marque dans le réseau cavistes.
Johnnie Walker est au cœur de la stratégie de développement de Diageo France, une structure qui a repris, depuis le 1er janvier, la distribution des marques du groupe suite à la fin de la joint-venture avec Moët Hennessy. Ce qui représente 43 marques, et plus de 150 références. Les marques “luxe” avaient déjà été reprises en mars 2024. Sur le scotch whisky, avec les marques Johnnie Walker, Cardhu et Talisker, l’ambition est “d’augmenter les parts de marché”, là où la tequila doit être un relais de croissance, et les marques de rhum et de produits sans alcool devenir les leaders de leur catégorie.
Avec Johnnie Walker, Diageo détient la marque de whisky la plus vendue au monde. Son étiquette inclinée à 20 degrés, depuis 1867, lui permet d’être immédiatement aperçue. Les origines de la marque remontent à 1820 avec les premiers assemblages de John Walker (mort en 1857), alors épicier à Kilmarnock, en Ecosse. Ce que met en avant, à travers plusieurs illustrations, le pop-up parisien. Autre point fort mis en avant, celui de l’accès aux réserves d’une trentaine de distilleries, “aux quatre coins de l’Ecosse”, rappelle Olivier Martinez, brand ambassador France. Illustration en est faite avec les distilleries Glenkinchie (Lowlands), Cardhu (Speyside), Clynelish (Highlands) et Caol Ila (Islay).
Une activité autour de l’art de l’assemblage

Un atelier est consacré au blend. « Si les whiskies écossais single malt sont une question d’individualité, alors les blend scotch whiskies représentent une totalité », explique la marque.
Cet art de l’assemblage est également valorisé, au sein du pop-up, à travers des masterclass (80 euros !) qui permettent aux participants de tenter de reproduire, à leur goût, le Black Label (40%), l’une des références phares de Johnnie Walker. Pour cela, il convient de partir du profil aromatique de whiskies signés Cardhu (mielleux), Clynelish (fruité), Glenkinchie (doux) et Caol Ila (fruité). Un exercice amusant, puisque chacun a son propre ressenti face aux notes et arômes de chaque produit, à réaliser façon laborantin. Le whisky Green Label pourra aussi être reproduit.
“Emma Walker, qui représente la septième génération de masters blenders depuis 2021, peut jouer avec 10 millions de fûts”, rappelle Olivier Martinez. Le temps est venu d’en savoir plus sur le processus de vieillissement, de déguster un highball (Black Label 12 ans, ginger beer, zeste d’orange) et de lorgner sur la nouveauté de Johnnie Walker, le 52 ans (300 bouteilles dans le monde, dont trois en France). Son prix ? 22900 euros.
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération.