Des idées de cocktails pour les fêtes, glanées au Lulu White, à Paris, avec du Monkey Shoulder – la technicité des bartenders alliée à l’accessibilité du whisky.
Pour passer l’hiver, les équipes du Lulu White, l’emblématique bar à cocktails de la rue Frochot, dans le 9ème arrondissement de Paris, et de Monkey Shoulder, le whisky dédié à la mixologie de William Grant & Sons, ont pris le parti de concevoir une carte de cocktails permettant de redécouvrir la marque à travers une offre inédite. “Nous avons voulu célébrer l’esprit de Noël, ou plutôt son mauvais esprit”, s’amuse l’équipe du bar.
Agréable, avec ses notes torréfiées, le Café Brulot permet lui aussi de se rapprocher de l’esprit des soirées d’hiver : Smokey Monkey (la référence de Monkey Shoulder dédiée aux bartenders), espresso martini et agave. Très réconfortant, le Monkey Nog (Monkey Shoulder classique, lait concentré sucré, boisson à base d’amandes, sucre, oeufs) illustre ainsi cette volonté. A l’opposé du Shoulderhoppin Monkeys (whisky, menthe et crème), plus punchy mais toujours aussi doux grâce à ce dernier ingrédient. Le Monkey Cider allie pour sa part du jus de pomme, de la cannelle, de la noix de muscade, du cidre et du sirop d’érable. Il est préparé comme un mule.
Auprès du grand public, Monkey Shoulder suggère notamment la réalisation d’un “lazy” old fashioned (whisky, sirop de sucre, bitter Angostura, zeste et twist d’orange) ou du Ginger Monkey (whisky, gingembre, orange). La marque a par ailleurs déployé des installations permettant, dans plusieurs bars parisiens, de réaliser des cocktails à la pression. Ceux-ci peuvent être gazéifiés.
L’hiver au Cambridge Public House
Dans le 3ème arrondissement de Paris, The Cambridge Public House a organisé, fin décembre, une double action de charité avec la possibilité d’offrir un cadeau pour des enfants, par l’intermédiaire d’une association (Un cadeau pour la vie), et de participer à une tombola. Une belle initiative de la part de l’équipe du bar. Côté cocktails, la saisonnalité sera toujours de mise lors de la réouverture, le 3 janvier. En création unique, avant la fin de l’année, le Cambridge RDN Club (sirop de camomille, baies roses, cognac, eau pétillante), plus léger et moins pétillant qu’un mule, était proposé. A découvrir à la réouverture en janvier, le Baila Bolero : jasmin, poire, crème de poire, vodka. Sa texture est très crémeuse.
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération.