C’est du jamais vu sur les marchés pétroliers: le baril de Brut, côté à New York, s’est échangé ce mercredi à 102,08 dollars le baril, et le Brent (Mer du Nord), côté à Londres a atteint lui aussi un plus haut niveau, à 101,43 dollars. Les consommateurs européens et nord-africains sont particulièrement concernés pour cette dernière donnée. Des facteurs géopolitiques et l’inflation aux Etats-Unis, comme l’atteste la hausse des prix à la production telle que publiée hier, tirent les cours à la hausse.
Concernant les facteurs géopolitiques évoqués ci-dessus, des violences au Nigéria, l’intrusion de troupes turques en Irak et la poursuite du conflit entre le Vénezuéla et ExxonMobil. Une possible réduction de la production de l’Opep, qui doit se réunir le 5 mars, attise également les tensions.