Distribués en France par la Maison du Whisky, les rhums de Flor de Caña renforcent leur présence sur le marché avec une intensification des efforts en cafés-hôtels-restaurants. En janvier, la marque a pour la première fois décliné en France son concours de bartenders Sustainable Challenge. Robin Davalo, brand ambassador France, nous présente la marque.
Le brief
« Flor de Caña est un rhum du Nicaragua, où on n’ajoute ni sucre, ni caramel. Un des rares spiritueux labellisés commerce équitable (Fairtrade), et nous sommes engagés sur l’aspect éco-responsable. La famille Pellas, depuis 1890 au Nicaragua, près d’un volcan actif, le San Cristobal, qui enrichit vachement la terre. Nous sommes présents dans plus de 70 pays, et nous écoulons 9 millions de litres de rhum par an. Nous distillons nous-mêmes, le vieillissement s’effectue sans solera et sans accélération. Pendant la fermentation, le CO2 est capté puis revendu à des entreprises de bière et soda. »
Les références
« Cinq références sont disponibles en France : un 4 ans (blanc), un 7 ans, un 12 ans, un 18 ans et un 25 ans. Le 4 et le 7 ans sont vraiment des rhums à mixer. Le 12 ans est le haut-de-gamme à mixer et l’entrée de gamme de dégustation. Le 18 ans et le 25 ans sont en dégustation, le rhum 25 ans étant ultra-premium. »
Les engagements
« Il y a un fort engagement dans le milieu associatif au Nicargua, depuis 1913 avec une école un hôpital depuis 1958. La quatrième génération de la famille, Don Ricardo, avait eu un accident d’avion. Depuis 1991, plus d’un demi-million de soins médicaux et chirurgies gratuites ont été réalisés pour les enfants brulés au Nicaragua. De plus, depuis 1992, 1,6 milliard de dollars ont été versés à une association de lutte contre la pauvreté. »
Le concours de bartenders
« Notre concours de bartenders est axé sur la préservation de l’envrironnement. En France, la première partie a consisté en speed round pour tester les capacités des barmans ; la deuxième partie un panier surprise afin de tester leur créativité ; la troisième partie a consisté à reproduire le cocktail participant. Alain Dauvergne, responsable de la formation Bar à l’Institut Paul Bocuse de Lyon, a remporté la première édition. La finale monde se déroulera prochainement. »
Le développement commercial
« Cela fait sept ans que Flor de Caña est disponible chez les cavistes en France, et depuis un an nous développons l’implantation du CHR. Nous essayons d’y pousser les projets éco-responsables. C’est une vraie identité de la marque, depuis une trentaine d’années. On peut travailler avec eux sur le conseil, en préparations, en techniques… Nous essayons de nous mettre au service du bar avec lequel on va travailler, en créant des partenariats. »
L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération.
L’interview a été réalisée avant les mesures de confinement.